Flygmaskin, littéralement machine volante.
On peut y lire le souffle du vent, un voyage qui prend soin de ce qui se dérobe au visible. On peut y entendre l’appel sensible de l’errance. La machine, c’est le son, précis, fluide. Le combustible? Ce mélange singulier des claviers, les dialogues essentiels entre l’accordéoniste, le claviériste, la poésie et le silence.
Une invitation subtile à respirer, à prendre le large.