insi, de Steve Lacy à Duke Ellington en passant par Herman Melville et leurs compositions personnelles, tout est prétexte à improviser et à dialoguer librement…Le mariage de leurs deux instruments mélodiques n’est pas évident, et c’est justement ce challenge qui a séduit les deux artistes : comment créer un univers sonore sans l’aide d’instruments percussifs ou harmoniques, comment remplir l’espace avec un violon électrique et un saxophone, aux tessitures quasi-similaires ? Enfin comment adapter des morceaux conçus pour des orchestres plus importants à cette instrumentation limitée ?
Le résultat est surprenant, car les deux musiciens s’inspirent mutuellement.
Les sons du violon et du saxophone se mêlent, s’entrecroisent. Leurs univers, quoique différents, s’équilibrent et s’influencent. L’utilisation des effets reste discrète, intelligente, tandis que les improvisations se répondent, se mélangent parfois. Les anciennes compositions trouvent ici une fraîcheur nouvelle, inattendue, tandis que les nouvelles s’épanouissent et que les standards revisités semblent avoir été écrits pour ce format dépouillé…
Presse
« Interprétées avec une complicité hors du commun et en totale harmonie avec la Nature tout au long du disque, ces escapades sonores nous recentrent au cœur du monde avec sérénité. Le deuxième, c’est pour quand ? » Tristan Loriaut « Les Dernières Nouvelles du Jazz » (France), Décembre 2008
« Leur univers empreint de cinéma, de littérature, de musique contemporaine autant que de jazz (Ellington, Coleman) donne Soundscapes et séduit par son lyrisme et ses sonorités étonnantes. » Jean-Pierre Goffin « Vers L’Avenir » (Belgique), Novembre 2008
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