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Rapport d'activité 2023
Vous êtes intéressés par ce qu’il se passe dans notre association?
Découvrez notre rapport d’activité 2023 en suivant le lien ci-dessous!
Félix Zurstrassen / NOVA - Elusive - Jazz magazine
‘Fruit d’une implication de chaque instant, le résultat, passionnant, témoigne d’une exigence et d’une profondeur qui forcent le respect’ (Félix Marciano, Jazz Magazine, mars 2024)
4 étoiles dans Jazzmagazine
Igloo Records & le numérique - Le SOIR
Des musiques numériques pour la famille Igloo.
Le label Igloo se lance dans une production d’albums de jazz essentiellement numériques, pour accompagner l’évolution des artistes et garder des traces de concerts inoubliables.
Entretien avec Jean-Claude Vantroyen (Janvier 2024)
MANU LOUIS - Club Copy - Les Oreilles Curieuses
“Club Copy n’a pas fini de nous en faire voir de toutes les couleurs. Avec d’autres trouvailles expérimentales et incongrues telles que « Economy » et « Winter » résolument rétrofuturiste, Manu Louis sait mêler chanson française et electronica avant-gardiste avec efficacité avant de prendre de l’ampleur avec « Winner » et « Ecology ». Il en résulte un disque à la fois expérimental et accessible, fun et dansant dont seul lui a le secret.”
MANU LOUIS - Club Copy - MuzzaRt
“Club Copy, bastion de sa résistance, l’aide grandement dans ses missions en délivrant, irrésistibles, groovy et tantôt exotiques, des morceaux d’obédience électro, mais pas trop, qui bien vite font mouche. Il faut dire qu’avec en tête de gondole Flou, aux motifs entêtants, au déroulé peinard mais assuré, il tient d’ores et déjà la barre. Alors te barre pas, reste ici car les chants, de plus, s’hispanisent dans un fond grisé. Et grisant. Si ses interludes, brefs, parlent peu mais renvoient des ambiances singulières, les créations de Manu Louis sont loin de manquer de chien. Ainsi Clone, en séquences dark et ondulantes, engendre t-il une séduction électro-fonk des plus poussée. Il y a cette pochette, aussi, en plus, que je trouve superbe. A tous les niveaux, Manu Louis se distingue.” (MuzzaRt, sept 23)
MANU LOUIS - Club Copy - Libération
“Artificier d’une électronique moite et vocalisée, Manu Louis mise sur l’ambiguïté des thèmes et des styles, tout au long d’un troisième album inspiré où il est beaucoup question de flou. Jusque dans cette pochette dont il relate la réalisation.” (Libération, 30.09.2023)
Manu Louis "Club Copy European Tour"
Retrouvez Manu Louis en tournée dans toute l’Europe à l’occasion de la sortie de son nouvel album CLUB COPY
Concerts releases
14oct – Brussels (B) – Festival Francofaune
18oct – Nijmegen (Ndl) – Extrapool NEW
21oct – Dusseldorf (Deu) – TBA
22oct – Berlin (Deu) – Lark (org.Amstart)
26oct – Amiens (Fr) – L’accueil froid
27oct – Paris (Fr) – Café de Paris
28oct – Caen (Fr) – La demeurée
02nov – Valencia (Esp) – Centro Excursionista
03nov – Barcelona (Esp) – El Pumarejo (org.Mutabor)
10nov – Charleroi (B) – Rockerill
14nov – Birmingham (UK) – Centrala (org.Smithereen)
15nov – Manchester (UK) – The Peer Hat
16nov – Newcastle (UK) – Cobalt Studio
17nov – London (UK) – Iklektik (org.Club Integral)
18nov – Todmoren (UK) – Nan Moor’s
19nov – Glasgow (Sco) – The Old Toll Bar
23nov – Chemnitz (Deu) Odradek
24nov – Dresden (Deu) – Hanse03
25nov – Leipzig (Deu) – Handstand & Moral
26nov – Paris (Fr) – Le cirque électrique (org. en veux tu en v’là) NEW
02dec – Brescia (Ita) – Spettro Club NEW
09dec – Madrid (Esp) – Sala Juglar
25apr – Hannover (Deu) – Feinkost Lampe
27apr – Tournai (Bel) – Silex
William Dunker nous a quittés ce 25 juin 2023
Triste nouvelle!
Ce dimanche 25 juin, William Dunker nous a quittés.
Le chanteur carolo laisse derrière lui une formidable discographie: 7 albums dont un disque d’or en 2000 (Trop T’chaud, FC104, 1997)
William Dunker chantait le blues en wallon de son terroir et nous a prouvé que ces musiques populaires et tellement humaines transcendent aisément les frontières.
Télésambre lui rend hommage ce dimanche 2 juillet en diffusant son concert enregistré en 2004 au Palais des Beaux-Arts de Charleroi (une co-production Sowarex/RTBF)
JAZZIT RECORDS - nouvelle collaboration
Un pont entre la Tunisie et la Belgique
Nouveau partenariat liant Igloo records et le label jazz tunisien Jazzit records.
Première collaboration avec l’album du Trio de Kyle Schafer qui invite Pierre Vaiana sur leur nouvel album “Tunisian Vibes”
Lien vers l’article de Tunisie.co au sujet de ce partenariat
MUNSCH - Entropia- LE SOIR
“Munsch”, c’est l’histoire de deux musiciens qui se connaissent depuis quinze ans, Adrien Lambinet et Julien de Borman, le premier au trombone, le second à l’accordéon. Ils se sont rencontrés dans le groupe Klezmic Circus. Et cela a duré dix ans. Puis ils ont eu chacun des aventures ailleurs. Un soir, à l’An vert, à Liège, Adrien a invité Julien à le rejoindre sur scène. « Et ça a hyper bien marché. Et on s’est dit qu’on voulait se retrouver pour créer quelque chose. Mais pas n’importe quoi. On voulait un moteur en plus du musical. Et on s’est accordé sur la thématique du cri, du cri intérieur, du cri qu’on a en nous, qui peut prendre plein de formes différentes et, souvent, qu’on ne peut pas sortir. » D’où Munch, l’artiste norvégien qui a peint le célèbre et angoissant Cri. Qui s’est mué en Munsch, avec un « s » en plus, pour montrer que le trio se préoccupe aussi de l’universel, de l’être humain, Mensch en allemand. (…)
Un trombone, un accordéon, des percussions, de l’électronique. Des musiques jazz, folk, électro. Difficile de « genrer » Munsch. Mais qu’importe, ce que le groupe fait, c’est d’abord un travail sur le son.
Adrien: «Complètement. On y travaille tous les trois. »
Julien: «C’est venu de l’improvisation. J’ai voulu dépasser le son de mon instrument. Et je me suis retrouvé à ajouter une, deux, trois pédales pour étendre mon son. On part tous les trois de l’acoustique et on l’augmente. »
Offre d'Emploi - Responsable distribution physique et digitale.
IGLOO RECORDS / SOWAREX
Initulé du poste
Responsable distribution physique et digitale.
Description du poste
Au sein de l’équipe de la Sowarex, vous serez en charge de :
Gestion et développement du réseau de distribution physique et numérique, gestion des commandes (Benelux &
étranger).
Planification et mise en oeuvre des parutions.
De la gestion des stocks.
Suivi de partenariats et de certains contrats, de licence notamment.
Mise à jour et entretient de notre site web commercial.
Qualifications requises :
– Une bonne connaissance de notre environnement professionnel et de ses différents réseaux, une bonne culture musicale et générale.
-Maîtrise du français et de l’anglais requise. La connaissance d’une autre langue, comme le néerlandais ou l’allemand est un atout.
-Des compétences et expériences complémentaires en matière de communication digitale, d’infographisme ou d’organisation événementielle (concerts), seraient appréciées.
Diplômes
Études supérieures.
Expériences
Une ou plusieurs expériences professionnelles significatives dans le secteur de la musique, disque en particulier.
Type de contrat
CDI, temps plein. Débutera le 1er septembre 2023.
Modalité(s)
Lettree de motivation et curriculum vitae adressés à M. le Président.
Documents requis :
Curriculum vitae, permis de conduire, copies des diplômes.
Candidature
Date limite de rentrée des candidatures : 30/06/2023. Envoyer votre candidature à :
M. Le Président, Daniel Sotiaux
Par courriel: direction@sowarex.be
Pour plus d’informations, contactez :
Pierre Villeret
153 Boulevard Léopold II – 1080 MOLENBEEK-SAINT-JEAN Téléphone : 02 538 90 01
Courriel : direction@sowarex.be
MUNSCH + FLYGMASKIN - double album release @ La Trictoterie - 17.06.23
https://www.billetweb.fr/concert-flygmaskin-munsch
MUNSCH - Entropia- Jazzmania
« Je sentais un cri infini à travers l’univers et qui déchirait la nature ». Ces mots figurent dans le journal intime d’Edvard Munch, le peintre pionnier de l’expressionisme, après qu’il eut ressenti subitement un profond malaise en regardant le ciel. Son œuvre la plus connue, qui symbolise encore aujourd’hui les angoisses existentielles de notre époque, a été la source d’inspiration du trio Lambinet / De Borman / Prudente, qu’importe finalement le pourquoi de l’ajout d’un « s » au nom du peintre norvégien. Encore fallait-il trouver la clé qui permette aux trois instruments de base (trombone, accordéon et percussions) de fonctionner conjointement.
Le talent des uns et des autres, mais aussi quelques effets électroniques et quelques synthétiseurs, ont servi de ciment pour ériger les fondements mélodiques et rythmiques qui habitent la musique de Munsch.
Avec cet « Entropia » décalé, un titre qu’aurait pu choisir Lars Von Trier, il sera bien question d’un cri. Celui qui s’échappe de nous, sans contrôle, lorsque le stress se trouve à son comble, celui qui formule de la joie, celui que nous sommes parfois bien incapables d’exprimer.
En d’autres notes, l’electro-tension (« Mass Flux », « Martinet » qui vire au techno), la valse triste (« Selena »), la joie communicative (« Stomp ») et même l’apaisement siègent ensemble de façon harmonieuse au sein d’une coalition improbable d’instruments qui ont tous leur propre cri à pousser.
A nous de l’entendre.
Yves Tassin
Félix Zurstrassen - NOVA LIVE - Le SOIR
Une belle musique qui montre le talent de ce band dans l’interprétation live de la musique de Félix. Impros superbes, rythme incroyable, couleurs magnifiques. Félix and Co reprennent en juin le chemin des studios pour fournir un nouvel album studio. On est impatient. (Le SOIR)
Fabrice Alleman - Spirit one: Clarity - Le SOIR
“…Un disque qui tourne autour de Chet Baker, plutôt une inspiration qu’un hommage. Alleman aime Baker parce que sa musique est simple, évidente, immédiate. Sans que cette ligne claire empêche ni variations ni fulgurances. Sur scène, Fabrice était accompagné de Nicola Andrioli au piano, de Jean-Louis Rassinfosse à la contre- basse et de Philip Catherine à la guitare. Ce dernier est toujours de la partie sur deux des neuf titres. Mais s’ajoutent Mimi Verderame et Armando Luongo à la batterie, Michel Seba aux percussions et les cordes du Budapest Scoring Orchestra. C’est un album inspiré, engagé, mais jamais ennuyeux. La preuve par l’amusant “Just take as it is”, que Ben Sidran aurait pu écrire. C’est une musique qui touche les âmes. Et qu’on a envie de réécouter immédiatement, les Eyes Closed du dernier morceau.” **** (JC Vantroyen, LE SOIR)
Fabrice Alleman - Spirit one: Clarity - Jazzmania/Dragonjazz
Cette musique d’une évidente clarté a la force d’âme d’un marchand d’espoir et la profondeur d’un chant spirituel. Elévateur !” (Pierre Dulieu, Dragon jazz)
IGLOO RECORDS 45YRS NIGHT in PARIS
IGLOO Records fête ses 45 ans à Paris!
Pour l’occasion: deux artistes phares de la scène du jazz déjantée made in Belgium chaufferont les planches du Studio de l’Ermitage!
Guillaume Vierset et son projet EDGES présenteront “The End of The F***ing world”, neuf titres de lave rougie, de roche noircie, de jeux de rôles aux croisements du rock, du jazz, du noisy contemporain, de flirts soniques dissonants. Manuel Hermia et son Freetet exploreront la question de la Liberté à travers le prisme du jazz !
Deux générations, deux concerts, deux présentation d’albums qui nous emmèneront à la découverte de leurs univers musicaux : moderne, libertaire, rock psyché ou indé…
GUILLAUME VIERSET – EDGES
Riffs accrocheurs, clavier pyscho-vintage, guitare tantôt aérienne tantôt écorchée, piano acoustique grisant : EDGES déroule un jazz crasseux et impoli, pourtant jamais dénué de cette poésie propre au compositeur Guillaume Vierset, qui adoucit les angles et berce le public entre deux moments plus incisifs.
Guillaume Vierset guitare électrique
Matteo Mazzu basse électrique
Jozef Dumoulin piano & claviers
Antoine Pierre batterie
MANUEL HERMIA – FREETET
Manuel Hermia poursuit son aventure libertaire avec Freetet, un quintet moderne qui réunit ses deux comparses de longue date – Manolo Cabras, Joao Lobo – et une section de cuivre de haut vol – Samuel Blaser, Jean-Paul Estiévenart – pour explorer la question de la Liberté à travers le prisme du jazz. Le Freetet tente de trouver un équilibre entre prises de parole individuelles et collectives et propose un modèle le plus collaboratif possible.
Manuel Hermia sax
Jean-Paul Estiévenart trompette
Samuel Blaser trombone
Manolo Cabras contrebasse
João Lobo batterie
Trio Grande - Impertinence - JAZZISM
BIG IN BELGIUM
Michel Debrulle. De eeuwig jeugd opeisen.
(Interview by Georges Tonla Briquet)
Fabrice Alleman - Spirit one: Clarity - Jazzism
“Via de ziel, het hart raken” (interview by Willem Jongeleen, Jazzism)
Hélène Duret - Synestet - Rôles - Jazzmagazine (HS)
* BEST OF 2022 *
Hélène Duret – Synestet “rôles” sélectionné parmi les 40 disques de l’année – Jazz Magazine HS (dec-janv)
Album “Choc”
Fabrice Alleman - Assisi - CLIP
Clip “Assisi”, extrait de l’album “Spirit one: Clarity”
réalisé par Maël Lagadec
avec l’aide de Sabam For Culture
Fabrice Alleman - Spirit one: Clarity - Jazzmania
“Le disque n’est pas un hommage à Chet, mais il a été l’étincelle de départ.”
Une interview de Jean-Pierre Goffin dans JAZZMANIA
Majid Bekkas - Joudour - Mixedworldmagazine
Muzikaal veelvraat Majid Bekkas uit Marokko keert na enkele vrijages met jazzmusici als Louis Sclavis terug naar zijn Afrikaanse roots. Naast de instrumenten die we van hem al gewend waren, zoals ûd, gitaar en gimbri (de basluit van de Marokkaanse gnawamuzikanten), neemt hij dit keer ook n’goni, balafon, kalimba, bouzouki en allerhande slagwerk voor zijn rekening. Partners in crime op dit verrassende album zijn onder anderen slagwerker Karim Ziad, saxofonist en bansurispeler Manuel Hermia en toetsenist Michael Hornek. In het eerste stuk drukt de kora van Mbemba Diabaté een zuidelijk stempel op de muziek, maar meteen daarna volgt de kenmerkende vraag-en-antwoord-zang van de gnawa. Na een wat pompeuze (en overbodige) aankondiging in het Engels stapt Bekkas over op wat hij Marokkaanse blues noemt. In plaats van een wiegende kamelentred horen we een jachtige galop, die wordt voortgestuwd door vurig spel op de rebab (vedel). Ook Desert Swing houdt de vaart erin, terwijl Bekkas zijn elektrische gitaar lekker laat janken en gieren en Ziad trefzekere klappen uitdeelt, onderbroken door een razende solo op darbouka door Mustafa Antari. Bekkas’ plokkende gimbrispel houdt de zaak bij elkaar. Sahara Tnadi biedt Bekkas volop gelegenheid om te schitteren als zanger. Het instrumentale Zagora Palms doet enigszins denken aan de muziek van de Libanese ûdspeler en componist Rabih Abou-Khalil. Niet alleen omdat Majid hier eveneens de Arabische luit bespeelt, maar ook door de complexe ritmische structuur en de fraaie saxofoonsolo van Hermia. Verrassend is Bekkas in de gedaante van singer-songwriter, als hij zichzelf in het melodieuze Mabrate Tessfa gitaartokkelend begeleid. Dan duikt er zelfs even een heus orkest op. Niks voor puristen, dit uiterst vrijpostige en veelzijdige album, maar voor muzikale omnivoren een regelrecht feestmaal. (Ton Maas)
Majid Bekkas - Joudour - Telerama
“avec Joudour, il retourne aux sources, l’esprit en fusion (…) fougue et groove au rendez-vous” (Télérama, TTT)
Majid Bekkas - Joudour - le Monde
Irriguée d’influences, à commencer par le groove rythmique entêtant des confréries gnaoua du Maroc et le blues afro-américain, la musique du chanteur et multi-instrumentiste (guitare, guembri, kalimba, n’goni…) marocain Majid Bekkas est un voyage, une fête nomade. Elle porte un souffle de liberté, rayonne de lumière joyeuse, même quand sa voix poignante crie la solitude (Ahia Mhanti, le magique et très mandingue titre d’ouverture, avec la kora de Mbemba Diabaté), ou chante un monde sans paix ni vie sereine (la ballade mélancolique Mabrate Tessfa). Dans cet album paraissant une vingtaine d’années après son premier, African Gnaoua Blues (2001), auquel participait déjà l’éclectique percussionniste Khalid Kouhen, Majid Bekkas s’assure aussi la présence, entre autres, de l’excellent batteur Karim Ziad et de Foulane Bouhssine, qui y fait virevolter son ribab – violon monocorde berbère. S’il fallait hiérarchiser la copieuse production de Majid Bekkas (dix-huit albums à ce jour), Joudour (« racines », en arabe), conçu pendant le confinement, donc impliquant des collaborations à distance, trouverait sa place au sommet. Patrick Labesse
Trio Grande - Impertinence - CLIP
Le film “Impertinence” réalisé par Lucas Racasse
Igloo Records/ Moyens du Bord Production / Collectif du Lion
avec l’aide de Sabam For Culture
Trio Grande - Impertinence - JAZZMAGAZINE (CHOC)
“Le Trio Grande fête ses 30 ans de la plus belle des manières, avec un sixième disque vif, allègre, qui réconcilie pulsion de danse et expérimentations sonores” **** ALBUM CHOC (JF Mondot)
Trio Grande - Impertinence - BX1
Michel Debrulle présente les projets du Collectif du Lion, dont Trio Grande “Impertinence” et la réédition de Trio Bravo dans “Connaissez-vous” sur BX1 (Fabrice Grosfilley)
Trio Grande - Impertinence - Dragonjazz
Tout ça respire l’effronterie, d’où le titre de l’album, Impertinence, subtilement symbolisé par trois grands échassiers en vadrouille s’élançant sur un piétonnier alors que le feu « piéton » est au rouge (la musique sur le morceau éponyme semble par ailleurs évoquer les discussions animées de ces trois volatiles à la Disney qu’on imagine passablement éméchés). Mais c’est aussi enjoué, imprévisible et, surtout, très drôle. Vingt-huit ans après leur premier album éponyme, le Trio Grande revenu à son format de base n’a rien perdu de sa vitalité, de sa fantaisie et de son aptitude naturelle à tout emporter dans un grand élan de sonorités festives. (Pierre Dulieu)
Hélène Duret - Synestet - Rôles - Jazzmania
“Un line-up qui ne manque pas d’exciter l’écoute. Et c’est bien le cas avec ce disque dans lequel on apprécie le sens mélodique des compositions, toutes de la clarinettiste sauf « La mesure du possible » de Sauzereau et « Mouillette », une pièce improvisée par le guitariste et le batteur. Une pièce en duo pour ouvrir l’album, une autre pour le clôturer. La mise en place est, elle aussi, soignée et réfléchie, avec une volonté de mettre en avant les membres du quintet. Car c’est là l’un des intérêts de l’album : on n’a jamais l’impression d’entendre un quintet de jazz, tant les parties des solistes s’intègrent avec le raffinement d’une musique de chambre. « Hier » est une petite merveille de composition, tout comme « Reine sous terre ». Le solo de Fil Caporali sur « Pas de Signal » est lui aussi un grand moment de sonorité douce. Car si l’album brille par ses compositions et l’agencement des morceaux, le son d’ensemble est lui aussi prenant de bout en bout, preuve sans aucun doute du travail d’équipe que le projet a développé. Quant à la « directrice » – prendre une direction, une esthétique – du projet, on aurait pu imaginer chez elle l’influence des grands clarinettistes français (Sclavis, Kassap, Portal), mais c’est plutôt du côté de Jimmy Giuffre qu’elle a puisé son sens de la mélodie, de la pureté du son et du mouvement dansant (la danse, un art qu’elle a par ailleurs pratiqué).” (JP Goffin, Jazzmania)
Hélène Duret - Synestet - Rôles - Jazzmagazine
* CHOC JAZZMAGAZINE *
“Il est rare que l’exigence formelle coïncide avec une intensité de tous les instants. Cette alliance fragile, on la trouve dans le deuxième disque du quintette de la clarinettiste Hélène Duret” (Jean-François Mondot, Jazzmagazine)
“Il y a dans ce disque une profondeur et une urgence poétique qui se ressentent à chaque morceau“
Hélène Duret - Synestet - Rôles - LE SOIR
“Dès les premières notes du premier morceau, « Le bonnet », on sait que cet album sera mystérieux. Ce duo clarinette-saxophone est assez énigmatique que pour susciter la curiosité de l’auditeur. La suite ne le décevra pas. Tout ici est à la fois simple : mélodies claires, harmonies aussi. Et inattendu : la manière de positionner la guitare par exemple, les solos de sax ébouriffants, les percussions inventives, le groove de la contrebasse, la cha- leur hermétique de la clarinette. Le tout enve- loppé d’une ironie amu- sée, comme si Synestet nous faisait un clin d’œil. Voilà un album inouï, dans le vrai sens du terme : comme on n’en a pas encore entendu.” **** LE SOIR, JC Vantroyen
Guillaume Vierset - EDGES - Jazzques
Et ça part aussitôt en garage rock psyché. Le Nord Stage 2 et la guitare hurlent et se frottent. La batterie tape sec, la basse bourdonne. « First Round » (tiré de l’album « The End Of The F***ing World », tout un programme !) puis deux morceaux sans noms mettent le feu. Toutes les influences citées plus haut nous reviennent en pleine face. Autant dire qu’on ne s’ennuie pas une seconde et qu’on voyage ! Tout est possible, rien n’est interdit et chaque musicien défie l’autre pour aller toujours plus haut et plus loin. Ça joue ! (Jacques Prouvost)
Manuel Hermia - Freetet - Jazzpodium
Und es klingt, als wurzele es tief in der Harmolodik des Ornette Cole man Quartet der 1960er-Jahre, mit den entsprechenden Mög lichkeiten zur libertären musi kalischen Kollaboration, aber modernisiert durch viele formale Neuerungen. Und man kann schon sagen, dass Flermia die ses Konzept erfolgreich reali siert hat. Es gibt keine Beliebig keit, kein kollektives Powerplay in dieser Musik, die damit einer Pseudofreiheit, einer Pseudoindividualität entsprechen würde – alles ist wohlgeordnet durchs Arrangement, das alle mögli chen Abstufungen zwischen Balance und Nichtbalance, zwi schen Plan und Freiheit zulässt. Und genau das macht den Reiz dieser Musik aus. (Benno Bartsch)
Manuel Hermia - Freetet - L'AVENIR
Hommage au free jazz et à la liberté de parole, le « Freetet » s’inspire de la tradition sur de nouvelles compositions. Brillant !
“Loin d’être inaccessible, la musique du Freetet est exaltante et belle de bout en bout.”
(JP Goffin)