“Brûler les feux rouges”: On passe plusieurs carrefours, ceux du folk, du jazz et même du rock, parfaitement arrangés pour admirer le désert servi par le violoncelle (Arizona Trip) ou alors revenir à la base via ce sax qui pleure en grâce (Desolate). Sans que l’idée de formule toute faite ne pirate ce qu’il faut bien appeler un sentiment de liberté assumée. En live, Harvest Group promet d’arroser tout cela d’un grand cru d’impro: à tester d’autant plus.
article de Philippe Cornet, Le Vif / Focus