“On ne sait s’il faut davantage applaudir la diversité des belles compositions et la qualité des arrangements, la perfection technique de l’enregistrement, le talent des musiciens, particulièrement la trompette de Ron Warburg et la basse de Sebastian Kuschczynsky, la beauté des voix, et surtout celle de Farayi Malek, la modestie de Margaux Vranken qui ne joue jamais la virtuosité ni l’ostentation. Cet album est juste. C’est un grand fleuve, irrigué par toutes ces sources-là. Ecoutez-le : il coule avec aisance et étincelle comme un joyau.” (*** , JC Vantroyen, Le Soir)
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