“Tout finira bien rend un hommage appuyé à la grande chanson française de l’après-guerre, ce qui ne l’empêche pas de collaborer avec Grand Corps Malade ou de faire dans l’épure nordique sur un “Drive” chanté en anglais, mais avec toujours justement aux lèvres une sorte de flegme britannique, d’infime décalage qui confère à leur musique de chambre d’écho, de quatuor cuivré acoustique devenu parfois orchestre symphonique, de jazz classique mutant en épure électronique…une harmonie.”
Bernard Roisin
” Une harmonie.”